You and me, know we're meant to be
maybe we'll never know
you and me are worst enemies
cause we don't believe anymore
la pluie est magnifique avec sa foudre. L'océan est vivant avec ses vagues. Les Roses sont belles avec ses épines. et les hommes? plénière par sa foi.
Minggu, 25 Desember 2016
Fall together -The Tempertrap-
Rabu, 21 Desember 2016
Selasa, 13 Desember 2016
Coucou
bismillahirrahmanirrahim
hello again, i've just realized that im gettin older .. by counting the tick tock
yet , i haven't done anything great .. nor being a succesful woman
shame on me hahah yes
ambitious, i used to be, but now, feels like i wash it away from my step
and i think
it is the time
for me to wake up
to get up
to rebuild
to repair
and to be stronger
i need to get back the way i used to be
to reach you
my dream city
hey, listen up
i promise
one day,. sooner or later
i will put "me" inside those view w/o photoshope-ing
one day, u'll see me standing between those iconic symbol "la tour eiffel"
yeah keep my words!!!!
aamiin insyaaAllah
hello again, i've just realized that im gettin older .. by counting the tick tock
yet , i haven't done anything great .. nor being a succesful woman
shame on me hahah yes
ambitious, i used to be, but now, feels like i wash it away from my step
and i think
it is the time
for me to wake up
to get up
to rebuild
to repair
and to be stronger
i need to get back the way i used to be
to reach you
my dream city
hey, listen up
i promise
one day,. sooner or later
i will put "me" inside those view w/o photoshope-ing
one day, u'll see me standing between those iconic symbol "la tour eiffel"
yeah keep my words!!!!
aamiin insyaaAllah
Vénus
Vénus
Victor Hugo
Ciel ! un fourmillement emplit l’espace noir,
On entend l’invisible errer et se mouvoir ;
Près de l’homme endormi tout vit dans les ténèbres.
Le crépuscule, plein de figures funèbres,
Soupire ; au fond des bois le daim passe en rêvant ;
A quelque être ignoré qui flotte dans le vent
La pervenche murmure à voix basse : je t’aime !
La clochette bourdonne auprès du chrysanthème
Et lui dit : paysan, qu’as-tu donc à dormir ?
Toute la plaine semble adorer et frémir ;
L’élégant peuplier vers le saule difforme
S’incline ; le buisson caresse l’antre ; l’orme
Au sarment frissonnant tend ses bras convulsifs ;
Les nymphaeas, pour plaire aux nénuphars pensifs,
Dressent hors du flot noir leurs blanches silhouettes ;
Et voici que partout, pêle-mêle, muettes,
S’éveillent, au milieu des joncs et des roseaux,
Regardant leur front pâle au bleu miroir des eaux,
Courbant leur tige, ouvrant leurs yeux, penchant leurs urnes,
Les roses des étangs, ces coquettes nocturnes ;
Des fleurs déesses font des lueurs dans la nuit,
Et, dans les prés, dans l’herbe où rampe un faible bruit,
Dans l’eau, dans la ruine informe et décrépite,
Tout un monde charmant et sinistre palpite.
C’est que là-haut, au fond du ciel mystérieux,
Dans le soir, vaguement splendide et glorieux,
Vénus rayonne, pure, ineffable et sacrée,
Et, vision, remplit d’amour l’ombre effarée.
Victor Hugo, Toute la lyre
Victor Hugo
Ciel ! un fourmillement emplit l’espace noir,
On entend l’invisible errer et se mouvoir ;
Près de l’homme endormi tout vit dans les ténèbres.
Le crépuscule, plein de figures funèbres,
Soupire ; au fond des bois le daim passe en rêvant ;
A quelque être ignoré qui flotte dans le vent
La pervenche murmure à voix basse : je t’aime !
La clochette bourdonne auprès du chrysanthème
Et lui dit : paysan, qu’as-tu donc à dormir ?
Toute la plaine semble adorer et frémir ;
L’élégant peuplier vers le saule difforme
S’incline ; le buisson caresse l’antre ; l’orme
Au sarment frissonnant tend ses bras convulsifs ;
Les nymphaeas, pour plaire aux nénuphars pensifs,
Dressent hors du flot noir leurs blanches silhouettes ;
Et voici que partout, pêle-mêle, muettes,
S’éveillent, au milieu des joncs et des roseaux,
Regardant leur front pâle au bleu miroir des eaux,
Courbant leur tige, ouvrant leurs yeux, penchant leurs urnes,
Les roses des étangs, ces coquettes nocturnes ;
Des fleurs déesses font des lueurs dans la nuit,
Et, dans les prés, dans l’herbe où rampe un faible bruit,
Dans l’eau, dans la ruine informe et décrépite,
Tout un monde charmant et sinistre palpite.
C’est que là-haut, au fond du ciel mystérieux,
Dans le soir, vaguement splendide et glorieux,
Vénus rayonne, pure, ineffable et sacrée,
Et, vision, remplit d’amour l’ombre effarée.
On entend l’invisible errer et se mouvoir ;
Près de l’homme endormi tout vit dans les ténèbres.
Le crépuscule, plein de figures funèbres,
Soupire ; au fond des bois le daim passe en rêvant ;
A quelque être ignoré qui flotte dans le vent
La pervenche murmure à voix basse : je t’aime !
La clochette bourdonne auprès du chrysanthème
Et lui dit : paysan, qu’as-tu donc à dormir ?
Toute la plaine semble adorer et frémir ;
L’élégant peuplier vers le saule difforme
S’incline ; le buisson caresse l’antre ; l’orme
Au sarment frissonnant tend ses bras convulsifs ;
Les nymphaeas, pour plaire aux nénuphars pensifs,
Dressent hors du flot noir leurs blanches silhouettes ;
Et voici que partout, pêle-mêle, muettes,
S’éveillent, au milieu des joncs et des roseaux,
Regardant leur front pâle au bleu miroir des eaux,
Courbant leur tige, ouvrant leurs yeux, penchant leurs urnes,
Les roses des étangs, ces coquettes nocturnes ;
Des fleurs déesses font des lueurs dans la nuit,
Et, dans les prés, dans l’herbe où rampe un faible bruit,
Dans l’eau, dans la ruine informe et décrépite,
Tout un monde charmant et sinistre palpite.
C’est que là-haut, au fond du ciel mystérieux,
Dans le soir, vaguement splendide et glorieux,
Vénus rayonne, pure, ineffable et sacrée,
Et, vision, remplit d’amour l’ombre effarée.
Victor Hugo, Toute la lyre
LA JOIE
Bismillahirrohmanirrohim
est une phrase
aussi, est un sentiment
recemment
j'sais pas pourquoi
mais,
je trouve
je me sens
le papillon
dance dans mon ventre
je veux tout le temps
sourire
en memorisant
ce qui se passe
c'est
Grâce à
toi
La Joie
Rabu, 07 Desember 2016
re post
Peri kehilangan sayapnya
Semesta tak diam
sejadi-jadinya
Ia mulai saling berbisik
Akan sayap yang mulai
malu
Menyapa angin pada
kepakan arogansi
Menggugurkan bulu-bulu
putih
Berganti merah paruh baya
Ada doa yang baru
Terselip aroma mawar
didalamnya
Memberi isyarat
Bahwa hati tetap tidak
tunduk
Akan rasa yang mulai
semena-mena
Tak pernah tanyakan
keadilan
Kenggunan masih
dipangkunya
Langit mulai ramai
Pada penghuni yang
bertandang
Dialah tamu yang lahir
dari tubuh
Seorang peri..
Sebab tak mampu menandahi
kelopak-kelopak yang menyentuhnya
Mewangi dibalik
bilik-bilik sempit
Meranahi kesucian
Oh betapa manisnya
Madu-madu yang disuguhkan
Nikmatilah peri
Tatkala dirimu terkoyak
Semut-semut yang
meengerubungi hatimu..
by : IDJ
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