Bismillahirrahmanirrahim
Bonjour
Nous allons vous présenter
le profil du bon apprenant de langue seconde qui est dans le chapitre 2.
Alors, tout d’abord Que’st-ce que c’est le bon apprenant ? C’est
quelqu’un qui comprend toutes les choses ce qu’il apprend. Il n’a peur jamais
s’il fait le défaut. S’il ne comprend pas ce qu’il apprend, il va
tout de suite chercher les informations à quelques sources jusqu’à il
les gagne.
Et puis, Qu’est-ce que c’est la langue seconde? C’est une langue qu’on
utilise après la langue maternelle.
Ici, il ya deux avis, selon Stern et Rubin. Et on les note dans quelques
points.
Le bon apprenant selon stern, basé sur ses observations, il fait une liste
de ce qu’il appelle les traits caractéristiques des bons apprenants de langue.
Il ajoute aussi les comportements et les stratégies des bons apprenants
et des apprenants faibles.
1.
Il
doit avoir un style d’apprentissage personnel et des stratégies positives.
C'est-à-dire il essaie d’apprendre d’une langue avec sa conscience. Il essaie
aussi de découvrir par lui-même ses techniques ou ses stratégies
préférées pour son agreement. Alors, quand il apprend la langue seconde, il est
toujours enthousiaste et ça lui fait convient. S’il y a le bon apprenant, y
a aussi l’apprenant faible. Il a peu conscience, impatient, et avoir peur le défaut. Il
sera traumatisé par des approches ou
des méthodes qui ne lui conviennent pas.
2.
Il
doit avoir une approche active sur la tâche d’apprentissage. Il prend son
initiative et adopte sa responsabilité personnelle. Il essaie de s’impliquer ce
qu’il apprend tous les jours dans ses activités. Comme bavarder avec
des amis ou des professeurs ou bien écrire dans son journal intime. L’apprenant
faible seulement compte son professeur. Il se peut que d’être quelqu’un passive.
3.
Il
doit avoir une attitude ouverte et il sait de tolérer les sentiments de frustration
et de désorientation dans les premières phases de l’apprentissage d’une langue
seconde. Il n’a pas peur du ridicule. Et aussi il doit manifester une certaine
ouverture face à la culture véhiculée par
la langue cible.
4.
Il
doit avoir un savoir-faire technique, ça veut dire il sait d’analyser les différents
structures du code de langue cible. Il doit chercher la relation entre la
langue seconde et la langue maternelle.
5.
Il
doit avoir des stratégies pour établir des liens entre les éléments
nouveaux qu’il apprend et ceux qu’il a déjà appris. il est détermine et systématique.
L’apprenant faible est tout le contraire de cela. Il ne fera pas d’effort pour établir
des liens entre les différents éléments. Son
approche est passive non systématique et fragmentée.
6.
Il doit savoir le sens de
cette langue. Il cherche du sens par quelques méthodes comme contexte,
situation, explication, traduction. Il travaille dûr pour comprendre le sens de
cette langue.
7.
Il doit avoir une
disposition pour pratiquer la langue. Il sait pour apprendre cette langue il
faut des efforts et ne pas spontanément. Il toujours profit des tâches
pédagogiques qui sont proposées par son
professeur pour pratiquer la langue. Tandis que l’apprenant inefficace évite
les occasions de pratiquer et les exercices comme des tâches désagréables.
8.
Il doit utiliser cette
langue dans la vie réelle. Parce-que, ça ne suffit pas de pratiquer seulement
dans la salle de classe. L’apprenant faible refermer sur lui-même. Il se sent
incompétent en partant. C'est-à-dire il s’en fou à cette langue.
9.
Il assez aventure de
corriger ses défauts avec les locuteurs natifs. L’apprenant faible, ne se fait
pas trop de soucis au sujet de ses erreurs. Il ne s’autocorrige pas.
10.
Il
finira par penser dans la langue cible. Peu à peu, il abandonne sa
langue maternelle comme systéme de référence. Au contraire,
l’apprenant inefficace n’accepte pas le fait que sa nouvelle langue.
Alors, la conclusion c’est Stern prend bien soin
de souligner que ces descriptions ne s’appliquent qu’à un type idéal. On
peut utiliser les strategies des bons apprenants maintenant.
et maintenant, c’est le tour de profil du bon apprenant selon rubin.
Il observe les caractéristiques basé sur
empirique et intuitive. Il examine quelques stratégies qui a utilisé afin
d’apprendre une langue. On les note dans sept points :
1.
Le
bon apprenant utilise son intuition pour deviner le sens de cette langue. Il
utilise ses habiletés de langue maternelle pour faire le lien entre la
langue maternelle et la langue seconde.
2.
Le bon
apprenant toujours veut communiquer ou bien pratiquer sa langue pour apprendre.
Il utilise ses gestes et sa mimique pour ce faire même si le vocabulaire lui
faire défaut.
3.
Le
bon apprenant n’a pas peur du ridicule. Il n’a pas honte pour essayer et il
apprend de ses erreurs.
4.
Le
bon apprenant est sensible aux structures de la langue. Il analyse les
structures de cette langue qu’il peut y découvrir. Il essaie de
chercher la relation entre les éléments ou les structures de la langue cible.
5.
Le
bon apprenant profite des occasions pour pratiquer la langue, il toujours répète les
mots ou les phrases ce qu’il entend. Comme regarder la télévision , écouter
de la radio,et parler à ses professeur ou bien avec ses amis.
6.
Le
bon apprenant peut corriger et il compare sa performance avec ses locuteurs
natifs . son écoute est toujours active dans la classe.
7.
Le
bon apprenant toujours cherche le sens de la langue, il ne se sent assez ce
qu’il a gagné.
Et la conclusion, c’est rubin propose une distinction entre les strategies
qui contribuent directement. Elle classe dans le premier groupe de strategies,
les tentatives de deviner, le raisonement déductif, la pratique, les
téchniques de mémorisation, l’autocorrection et l’autoévaluation.
La conclusion des bons apprenants selon eux :
1.
Il
adopte une approche active comme pratiquer la langue dans plusieurs façons et
preparer ses activités.
2.
Il
essaie de découvrir la langue cible comme un système. Par example, établir des liens entre
des éléments nouveaux et ce qui est connu.
3.
Il reconnait que la
langue cible est un instrument de communication. Comme utiliser le contexte, la
situation, les gestes afin de deviner le sens des énoncés.
4.
Il sait prendre en compte
la dimension affective d’une la langue seconde. Comme adopter une attitude
d’ouverture et de tolérance face à la langue cible. Et puis, il n’a pas peur du
ridicule.
5.
Il surveille sa
performance par se corriger, essayer de l’imiter de locuteur natif, évaluer sa
performance.
La question se posait donc toujours en ce qui concerne les différences
entre les bons apprenants et les apprenants faibles dans leur utilisation des
stratégies.
source : buku les strategies d'apprentisage
le devoir de madame ninuk. IBM.
Shinta Larasati Widjanarko